Des Mots Pour 1 Don

Souvenez-vous d’un agent très spécial, employé par la Fondation Phoenix, qui dégainait son couteau suisse pour se sortir de toutes les situations, si catastrophiques soient-elles…

Souvenez-vous d’un Colonel de l’Armée de l’Air, sarcastique mais efficace, qui parcourait les galaxies en empruntant un moyen de locomotion circulaire aux contours remplis de symboles…

C’est bien lui… MacGyver, Jack O’Neill ou Richard Dean Anderson !

Cependant, je suis certaine que vous ne connaissez pas tout de sa vie… 

J’ai donc trouvé la meilleure des solutions ! C’est un long travail de recherches qui m’a occupée pendant deux années et demie : Plus de deux cents articles lus, traduits et triés afin d’organiser ma rédaction de manière chronologique.

Et voici enfin mon projet abouti :
 « Richard Dean Anderson, d’Esprit et de Cœur »  
(Publication le 8 août 2017)

La première biographie complète en français ("non officielle") de l'acteur américain Richard Dean Anderson, mondialement connu pour ses deux  plus grands rôles  à la télévision:

" MacGyver" entre 1985 et 1994 et
Colonel Jack O'Neill dans "Stargate SG1" entre 1997 et 2004

Publication:

ISBN : 978.2.9543847.4.0 (Août 2017)

387 pages - Imprimeur: CopyMédia

------------------------

En vente sur : mon site internet
Ou en version Kindle sur : Amazon
 

Comme pour mes autres ouvrages, les bénéfices de ce livre sont reversés à des
associations caritatives qui oeuvrent pour la sauvegarde de notre planète.

Ainsi, avec "Richard Dean Anderson, d'Esprit et de Coeur" je soutiens : 
Sea Shepherd Conservation Society

*    *
 *

Premier compte-rendu de mes ventes sur 
->mon site

Compte-rendu de la venue de Richard Dean Anderson à Paris le 4 février 2018
-> "Une trop brève escale à Paris"

Vous savez que Richard est un indéfectible défenseur de l’environnement, son nom est associé à Sea Shepherd Conservation Society, mais également à bien d’autres organisations caritatives, comme Waterkeeper Alliance, Challenger boys&girls, Quench the fire, pour n’en citer que quelques unes.

Il porte les couleurs de Sea Shepherd Conservation Society lors de ses déplacements à la rencontre de ses fans dans le monde entier. Toutes les recettes qu'il fait lors de ces manifestations (séances de dédicaces, photo-shootings) sont reversées à cette organisation.

J'ai rencontré Richard plusieurs fois au cours de ces trois dernières années, à Londres en 2015, à Vancouver et à Toulouse en 2016 et à Paris en 2018. Je le verrai à nouveau en septembre prochain à Lyon.

Richard est un homme sympathique et attachant, qui a su rester simple et intègre devant le succès. Avec son humour communicatif et un profond respect envers ses fans, il reste un des acteurs les plus appréciés dans le monde, alors même qu'il ne tourne plus depuis quelques années.  

Etre le plus juste possible a été ma devise depuis le début de mon projet ainsi que la volonté de respecter la vie privée de Richard. Ce livre est le résultat d'un long travail de recherches qui m’a occupée pendant deux années et demi : Plus de deux cents articles lus, traduits et triés afin d’organiser ma rédaction de manière chronologique. Etre le plus juste possible a été ma devise depuis le début de mon projet ainsi que la volonté de respecter la vie privée de Richard. Ainsi, dans le cas où certaines informations pourraient contenir des erreurs, indépendantes de ma volonté, on peut m’attribuer une certaine forme de responsabilité en ce qui concerne le choix de mes bases de recherches mais pas de leur contenu.

Pourquoi cette biographie est-elle "non officielle"?

Elle ne peut, honnêtement, être considérée comme "officielle", dans la mesure où elle est rédigée en Français. En effet, Richard ne peut raisonnablement pas donner son aval "officiel" pour un livre qu'il ne peut lire lui-même. Il ne m'a toutefois pas dissuadée de finaliser mon projet et je l'en remercie profondément.  

Un petit extrait pour vous donner l’envie de vous le procurer…

Introduction

             Richard Dean Anderson… ce n’est pas un empilement de dates mais une succession de moments de vie, comme tout un chacun, moments de douceur et de douleur, la vie d’un homme avec ses hauts et ses bas, ses doutes et ses victoires, ses peines et ses joies, ses heurts et ses complicités… Alors, si je ne vous assène pas une ribambelle d’années, de mois et de jours (sauf quelques repères importants tout de même), remerciez-moi, parce que la vie de Richard est une aventure de chaque instant à savourer sans modération.  

          S’il est devenu l’acteur tant apprécié dans de très nombreux pays, « le » MacGyver ou « le » Jack O’Neill que tout le monde connaît (pas vous ?), c’est avant tout parce qu’il a su saisir sa chance à un moment où sa vie aurait pu basculer dans le néant. Humble mais déterminé, épris de liberté et passionné, il a toujours voulu rester honnête envers lui-même et les autres. Sa puissance de travail réside dans une philosophie déroutante : « dans le doute, insiste » mais «la vie est trop courte, alors il faut s’amuser ». Richard est un électron libre qui ne peut survivre dans la sphère trop « surfaite » d’Hollywood. Il lui préfére les solitudes forestières et océanes qu’il rejoint en dehors des tournages, la faute (ou grâce) à sa personnalité du middle-west d’une rusticité romantique et humble. Son authenticité est teintée d’une sensibilité et d’un rayonnement subtils à fleur de peau. Elle se fait l’écho d’une liberté acquise et préservée, avec souffrance parfois et finalement sagesse. Enfourchant son vélo (ou sa moto) à la découverte de sentiers inconnus ou retrouvant sa Nature bien-aimée au cœur d’un Minnesota natal encore un peu sauvage, plongeant dans des grottes sous-marines un peu angoissantes ou dévalant en ski de vertigineuses pentes enneigées dans le Colorado, Richard ne peut concevoir la vie autrement que dans l’extrême dépassement de soi. Pas étonnant que sa carrière professionnelle soit ainsi menée depuis le début. Moins étonnant encore le fait que ses engagements dans de nombreuses organisations caritatives soient devenus pour lui un véritable axe de vie. Ses yeux pétillent lorsqu’il parle de Hockey sur glace, sa passion de toujours et s’embuent d’émotion lorsqu’il évoque Wylie, sa fille, son Bonheur… 

          Pour parler de Richard Dean Anderson, il faut y être profondément attaché, il faut le regarder évoluer dans ses rôles d’acteur et le voir évoluer en dehors de ces mêmes rôles, il faut l’écouter parler des choses qui le touchent et lire dans ses yeux tout ce qu’il ne dit pas mais que son sourire promet, il faut l’aimer sans limite afin de trouver les mots qui toucheront le cœur des lecteurs. 

          C’est pourquoi, j’en ai fait ma mission : parler de Richard Dean Anderson par amour pour cet être d’exception, par respect pour son parcours de vie où l’intérêt des « autres » a bien souvent primé sur le sien propre, par humilité aussi car, face à une personne d’une valeur humaine aussi profonde et sincère, on ne peut que s’incliner… 

          Chapeau bas ! Monsieur Richard Dean Anderson, votre richesse de cœur n’a d’égal que votre noblesse d’esprit. 

Quelques autres petits extraits peut-être ?

...Richard l’espiègle est devenu un jeune adolescent toujours aussi impétueux, qui commence à avoir de sérieux problèmes avec l’autorité quelle qu’elle soit, car il semble ne vouloir reconnaître que la sienne. Il a bien vite conscience que son potentiel énergétique peut le mener loin et il est prêt à s’en servir quoi qu’il lui en coûte. C’est à Ramsey High School qu’il trouve le moyen de canaliser cette puissance en devenant membre de l’équipe de hockey (enfin !) du collège. Il a déjà un bon niveau, grâce à ses heures de patinage sur des lacs gelés avec ses frères et ses copains depuis l’enfance. Il est motivé et enthousiaste, persuadé de ses véritables possibilités physiques et son entraîneur lui promet un grand avenir s’il travaille avec acharnement. Il n’en faut pas plus à Richard pour s’imaginer déjà en tête d’affiche lors des plus grands matchs nationaux, internationaux ou des futurs Jeux Olympiques d’hiver aux côtés de ses héros comme Gordie Howe... (Chapitre I : "Le Minnesota : plus qu'un lieu de naissance...une philosophie").

*

... Malgré les fréquentes pluies qui perturbent un peu l’équipe, la magie opère dès les premières séquences, les acteurs trouvant rapidement leurs marques les uns par rapport aux autres. L’entente est excellente et l’humour que Richard diffuse autour de lui détend très vite l’atmosphère. C’est que les nouveaux venus étaient un peu inquiets de travailler avec lui. Au sein des studios aussi, il est toujours « MacGyver », une immense star (même s’il ne s’est jamais accommodé de cette appellation). Aussi, les autres acteurs qui n’ont, pour la plupart, qu’une ébauche de carrière derrière eux, restent un peu sur leurs gardes et se demandent comment cette « icône » de la télévision va se comporter avec eux. Va-t-elle leur en mettre plein la vue avec sa célébrité ? Va-t-elle être capricieuse et égocentrique ? Va-t-elle leur mettre des bâtons dans les roues ? Quelques heures ont suffi à évacuer le stress sur le plateau : Richard est un chic type, simple, sympathique et d’une humeur enjouée communicative. Certes, il impose sa philosophie au début : « ne pas se prendre au sérieux, s’amuser en travaillant tout en donnant le meilleur de soi-même et en respectant les autres ».  Voilà une équipe rassurée par les mots du « patron » (Chapitre V : "Rôles sur mesure...Stargate SG1").

 *

...Bien qu’il soit réservé à ce sujet et n’aime pas faire étalage de ses bonnes actions, Richard Dean Anderson est devenu, très tôt, un adepte de l’équitable et de la sauvergarde de l’environnement. Son périple en vélo à l’âge de dix-sept ans lui a ouvert l’esprit sur le potentiel de chaque être humain – et le sien propre – à agir pour le respect de son lieu de vie et la recherche d’une qualité d’existence à l’échelle planétaire pour les générations à venir. Lorsqu’en octobre 2012, on lui remet une distinction à l’occasion de la 20^e édition du Festival Jules Verne à Paris pour son implication dans la protection de l’environnement, Richard avoue humblement ne pas être certain de la mériter : « Ma prise de conscience est venue relativement tardivement. Il a d’abord fallu que je prenne ma vie en main et j’ai commencé à m’interroger sur le sens que je voulais lui donner. A ce moment j’ai pris conscience à quel point protéger la planète était une cause importante à défendre… ».(Chapitre VI : "Engagé volontaire : User de son nom pour des causes justes").